Pierre Chemin est un « papa musicien » qui s’est passionné pour la
musique et la créativité avec les tout petits. Son premier album
« Parents si vous chantiez » a été réalisé en 1979. Suivi par « Le
Cordon Musical », décembre 1993, qui a connu un accueil plus que chaleureux dans les milieux de la petite
enfance et dans les familles. Disque d’or en 2004 et plus de 40.000 exemplaires vendus en 17 ans. Viendra
ensuite « Le Cordon Pictural » en 1998 et « Le Cordon Nord/Sud » en 1999.
Parmi ses nombreux projets, on retiendra notamment en 2001 la création d’un orchestre composé de plus
de 70 musiciens, enfants et parents, lors du projet « Suite pour une école enchantée ».
Pour la Zinneke Parade, il crée, avec les enfants de l’asbl Rasquinet, un environnement sonore à l’aide
d’ustensiles de jardin (2004) et de cuisine (2008).
Après un premier mini-concert sur instruments jouets (2008), un deuxième concert est organisé dans le
cadre de la quinzaine de la petite enfance de la ville de Bruxelles (2009) pour accompagner la création
d’un parcours adapté aux moins de trois ans.
Le projet du Jouet Musical mûrit doucement. Et aboutit en 2010, à la sortie de ce nouveau CD composé et
enregistré uniquement sur des instruments jouets.
L’exposition de sa collection de jouets anciens et contemporains est accueillie à l’espace Petite Enfance
de la ville de Bruxelles en décembre 2010, place Sainte Catherine.
Tombée dans la musique depuis qu’elle est née, Julie entend dès son enfance clavecin, voix, guitare, piano
et flûte tout autour de son berceau. Parcours à l’Académie classique pour démarrer (piano, solfège et
choeur), elle découvre ensuite le Jazz et ses variations à l’infini...
S’ouvre alors une période dense avec
cours de chant intensif, de rythme, d’harmonies et de contrebasse.
Après un détour par le graphisme et les « Langues et Littératures Romanes », Julie revient à la musique à
temps plein. Elle jonglera entre le Conservatoire, les ateliers, les cours et les stages afin de poursuivre sa
formation vocale et instrumentale.
La musique devient sa profession au fil des ans, tant comme musicienne sur scène que comme intervenante
pédagogique en milieu scolaire et parascolaire. Elle dirige notamment le choeur pour femmes à
Louvain-la-Neuve.
Elle participe aussi à de nombreux projets mêlant théâtre et musique
tout en menant, en même temps, son projet de chansons en duo
avec différents guitaristes.
Martin Chemin commence le djembé à l’âge de 6 ans. Parallèlement il multiplie les expériences
rythmiques et musicales : Capoeira, Samba-Reggae, chef d’orchestre. Dès son plus jeune âge,
il se produit sur scène, à la télévision et enregistre son premier morceau pour le « Cordon Musical ».
En plus des cours de musique qu’il enseigne, il intégrera aussi plusieurs groupes mais c’est avec
« SakkaConga », en 1998, qu’il se lance réellement.
Après un voyage de six mois au Mali, en 2001, afin de parfaire sa pratique du djembé, il participe à de
multiples projets de groupes dont les formations « Bloco Fusao » et « Bloco Zinneke ».
C’est lors de ses études en « Langues et Littératures Romanes », de 2002 à 2007, que se tissent les liens
avec la fanfare « KermesZ à l’Est » et le groupe « MuZiek de Singe ».
En 2006, Martin rejoint le groupe « Bolo Kan » et en 2007, « Djinè », un projet franco-belgo-malien.
Il rythme aussi les compositions de la chanteuse Minata Traoré depuis 2007 et accompagne le danseur
malien Brahima Coulibaly. Actuellement, il continue sa formation auprès d’Ibrahima Sarr en effectuant
des allers-retours entre Bamako et Bruxelles.
Benoît Dumont commence la basse électrique à 17 ans et participe à la création d’un groupe rock
avec des amis. Il joue aussi avec d’autres groupes et expérimente le studio. Par la suite, il étudie
la contrebasse et va un an au Jazz Studio d’Anvers pour apprendre les bases de l’harmonie et de
l’improvisation à la basse électrique. Il rejoindra aussi un groupe de reprise de standards cubains.
Après un séjour d’un an en Iran (1998) et quelques années de boulot, dont un passage aux Ateliers
chanson, il reprend en 2004 ses vieilles basses et contrebasses ainsi que quelques leçons de piano.
Depuis lors, son travail musical est avant tout axé sur la pratique du jazz.
Benoît a participé à la création d’un spectacle de théâtre chanté et imagé, en octobre 2010 au Centre
Culturel d’Anderlecht. Il a un projet personnel d’albums de chansons françaises.
Tuur Florizoone étudie le piano classique dès l’âge de 6 ans à l’Académie de Leuven, où il suit également
des cours de percussions. Par la suite, il participe à de nombreux stages de musique et très vite le public
l’apprécie sur scène.
A 17 ans, il part pour un an au Brésil emportant avec lui un accordéon. Il y découvre une nouvelle façon
d’utiliser cet instrument, très populaire là-bas. A son retour, il entre au Conservatoire Royal de Bruxelles
en section jazz où il suit des cours de piano.
Il a été pendant 2 ans professeur de piano et de composition jazz au « Jazz Studio » à Anvers.
Et il est actuellement professeur d’accordéon au Conservatoire de jazz de Gand.
Il a fondé et fait partie de nombreux groupes, notamment Tricycle, Azeto Orkestra, le groupe de Quentin
Dujardin, Gadu Gadu, Massot/Florizoone/Horbaczewski. Il a joué aux côtés de nombreux musiciens de la
scène jazz et a aussi créé de la musique pour films, spectacles, théâtre, cirque, radio, télévision.
Gwenaël est un musicien autodidacte, batteur, percussionniste et chanteur. Il débute la batterie et la percussion
à l’age de 16 ans et construit son bagage musical en brassant les enseignements de façons diverses.
D’une part, à travers des voyages au Brésil, au Mali et à Cuba. Mais aussi grâce à de multiples formations,
stages et cours particuliers. Et surtout par le biais de ses collaborations actives parmi des groupes aux
influences musicales très diversifiées : « I Fam » (Reggae-Rap-Afro-Funk en français), « Turdus Philomelos »
(Festif), « Tantra » (Trans-Neo-Folk), « Ba’Tambù » (Percussion Latine), « Carrefour Bongo’s » (Afro-
Blues poétique), « Bao » (Folklore afro-cubain), Christian Merveille (Musique et chansons pour enfants),
« Les filles de Hirohito » (Rock poétique).
Actuellement, il se produit encore avec certains de ces groupes et travaille également en tant que pédagogue
et accompagnateur pour des cours de danse, chant et percussions.
Martin Kersten commence le saxophone à l’âge de 15 ans. Il alternera cours privés et Académies et suivra
aussi des cours d’histoire du jazz. Mais il apprendra surtout avec les « Turdus Philomelos », formation de
musique festive dont il fait partie depuis 1999.
En 2003, lors d’un stage de jazz, Martin rencontre des musiciens qui formeront plus tard les membres du
groupe funk-jazz « The Peas Project ». En peu de temps, le jeune groupe joue déjà sur de grandes scènes.
En 2007, il entre dans le groupe « MuZiek de Singe ». En tant que membre de l’ASBL Gédéon, il co-organise
4 éditions du festival « Le temps des pommes » ainsi que le festival biologique « Autour de Sylvius ». Il s’est
aussi produit dans de nombreuses pièces de théâtre.
En février 2010, il a sorti un second album avec le groupe « Turdus Philomelos », « Ici, maintenant, là, pouf ! ».
De 8 à 13 ans, Gilles apprend le piano mais à l’adolescence c’est la guitare qui l’attire. Sa curiosité pour
la musique lui fait ensuite découvrir la batterie.
En 2001, en compagnie de Maxime Tirtiaux, il compose à la guitare un répertoire jazzy leur permettant de
se produire. Le groupe « MuZiek de Singe » était né ! Son Kot à Projet, le « Circokot » décide de créer une
fanfare inspirée de musique des Balkans et klezmer. En 2005, le premier concert de la « KermesZ à l’Est » a
lieu. Ce sera le début d’une longue série…
Fin 2007, il exerce un mi-temps comme professeur d’horticulture à la prison d’Ittre et travaille aussi comme
professeur de guitare. Il participera à de nombreux festivals grâce à une collaboration avec les groupes
bruxellois « Balimurphy » et « Les Caricoles ». Et en 2008, il rejoint un projet musical mené par son frère
Pierre-Yves Kremer : « Les promeneurs ».
Maxime Tirtiaux commence la guitare à l’adolescence, surtout en autodidacte. Il est attiré par le rock, puis
le rock alternatif. Il fonde le groupe FAUN avec des amis nivellois. Mais en entrant à l’université, il se tourne
de plus en plus vers le jazz et les musiques traditionnelles acoustiques.
À Louvain-la-Neuve, il rencontre Gilles Kremer. Ensemble, ils fondent « MuZiek de Singe ».
Son activité musicale est variée : que ce soit à la guitare et à la composition dans « MuZiek de Singe » ou au
banjo dans « KermesZ à l’Est ». Il s’occupe du booking de ces groupes et des relations avec les organisateurs.
Il a aussi participé à différents projets : reggae, jazz, collaborations avec les groupes « Balimurphy » ou
« Turdus Philomelos » et il donne des cours de guitare.
Marianne Uylebroeck pratique et transmet sa passion du diato depuis de nombreuses années.
Elle aime mélanger le son de l’accordéon avec la danse, la chanson, la parole ou l’éveil musical.
Au fil des rencontres, elle a eu le plaisir de participer à de très nombreux projets musicaux
dans différents domaines, avec une prédilection pour les musiques traditionnelles métissées.
C’est ainsi qu’elle anime des bals folks, avec entre autres, le groupe « Goulasch Band » dont
les musiciens viennent tous du jazz.
Très active également au niveau des bals pour enfants et animations musicales pour
les tout-petits avec Jean-Paul Chemin et ses « Pierrots lunaires ».
Elle intervient dans plusieurs spectacles de poésie et de Café théâtre dont
le dernier en date avec la comédienne Madeleine Fabrice.
D’autre part, elle accompagne la Chorale « La Clé des Chants »
animé par Jean Jadin, qui développe un très beau répertoire de
chants du monde.